Welcome address from Martine Pergent, president of IPOPI
On behalf of IPOPI, I have great pleasure in welcoming the participants to this joint ASID-IPOPI-INGID meeting. Once again, we will meet at the same time, even if digitally, we will share knowledge and experiences on our common and favorite topic: the health of people with primary immunodeficiencies. Many countries in Africa are making great strides in diagnosing and treating these patients. But much remains to be done and there are huge inequities between countries. Raising awareness on these genetic noncommunicable diseases is a long process. It has to face the lack of knowledge, the lack of means and even stigmatisation. But each country can progress through the joint efforts of doctors, patients and nurses working together. Parents, patients should not rely solely on their doctors so their conditions are taken into account by health authorities, they should collaborate and communicate with them so to make them aware of their situation. At the IPOPI meeting, we will work on this, we will learn from the experience of the most advanced countries from the region, we will see the benefits of acting together and identify possible actions. For the sake of our children of adult patients as well!
I wish you all an excellent conference, I am so happy to see you all again even if I very much regret not being able to discover Karthoum in person. A big thank you to the organisers for their hard work, and let's roll up our sleeves and look to the future with hope and confidence.
Mot de bienvenue de Martine Pergent, présidente d’IPOPI
Au nom d’IPOPI, j’ai le grand plaisir de souhaiter la bienvenue aux participants de cette réunion conjointe ASID-IPOPI-INGID. Encore une fois, nous nous rencontrerons tous, en même temps, même si numériquement, et nous partagerons nos connaissances et nos expériences sur notre sujet commun et préféré : la santé des personnes atteintes d'immunodéficiences primaires. De nombreux pays d'Afrique font de grands progrès dans le diagnostic et le traitement de ces patients. Mais beaucoup reste à faire et il existe d'énormes inégalités entre les pays. La sensibilisation à ces maladies génétiques non transmissibles est un long processus. Elle doit faire face au manque de connaissances, au manque de moyens et même à la stigmatisation. Mais chaque pays peut progresser grâce aux efforts conjoints des médecins, des patients et des infirmières travaillant ensemble. Les parents, les patients ne doivent pas se reposer uniquement sur leurs médecins pour que leurs maladies soient prises en compte par les autorités sanitaires, ils doivent collaborer et communiquer avec elles afin de les sensibiliser à leur situation. Lors de la réunion de l'IPOPI, nous travaillerons là-dessus, nous tirerons les leçons de l'expérience des pays les plus avancés de la région, nous verrons l'intérêt d'agir ensemble et identifierons les actions possibles. Pour le bien de nos enfants, de patients adultes aussi !
Je vous souhaite à tous une excellente conférence, je suis si heureuse de vous revoir toutes et tous même si je regrette beaucoup de ne pas avoir pu découvrir Karthoum en personne. Un grand merci aux organisateurs pour leur travail acharné. Retroussons nos manches et regardons l'avenir avec espoir et confiance.


